Mouvement nationaliste pour la France aux Français

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Des radicaux se sont ENCORE invités à la fête du cochon d’Hayange

Samedi 6 septembre 2015 s’est tenue à Hayange la seconde édition de la fête du cochon, organisée par la ville.

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Les militants et les amis de Lorraine Nationaliste se sont joints à divers mouvements patriotes pour cette fête mettant au goût du jour les saveurs de nos terroirs.

Malgré la polémique lancée par les médias aux ordres du système en place, la bonne humeur était de mise. Des habitants et participants curieux ont même déclaré à la presse avoir été ravis d’entretenir des conversations avec les nationalistes, qu’ils ont jugé respectables et polis. Nous les remercions pour leur clairvoyance, nous sommes une main de justice ouverte à tous les Français, nous appelons ces derniers à nous rejoindre pour agir d’urgence à l’extérieur du système !

Fidèle à sa promesse, l’hétérophobe Fabien Engelmann, maire de la ville, a bien mis toute la police municipale en activité suite à notre appel au rassemblement nationaliste, lancé quelques jours plus tôt. Telle une personnalité incontournable de la scène française, une star de la télévision ou du show-biz, le petit Fabien n’a cessé tout au long de la journée d’être accompagné de ses nombreux gardes du corps en costume bleu. Qu’à donc t-il a se reprocher ?
Certains policiers et agents de la DCRI étant plus équipés que les journalistes eux-mêmes, ne se cachaient même pas pour photographier la moindre mouche voler.

Hayange
Le cochon englouti, il nous fallut supporter l’insupportable… le discours du maire ! Ayant la démocratie plein la bouche – c’est le cas de le dire -, Engelmann a déclaré qu’il n’était pas en meeting politique, et, que naturellement, cette fête avait pour but d’accueillir tout le monde. Sauf les nationalistes bien sûr, qu’il continue à insulter « d’imbéciles » à chaque rendez-vous annuel.
A la fin de son allocution théâtrale, le maire et ses supporters se sont mis au garde-à-vous, entonnant de manière euphorique l’hymne disgracieux et moribond de leur République. Ils étaient bien les seuls…

Revenons à l’aspect positif, nous félicitons tous les habitants et les volontaires ayant participé à l’organisation de cette fête, qui amena encore plus de monde que l’année dernière. Plusieurs journaux locaux ont relayé notre présence, dont « Libération » et « Le Républicain Lorrain ». Nous vous mettons des extraits ci-dessous :

Regard circulaire alentour sur la deuxième fête du cochon hayangeoise. […] Et la vingtaine de gros bras tatoués, crânes rasés, treillis, blousons noirs ? Un groupe arborant les tee-shirts «Lorraine nationaliste» est planté à côté de la piste de danse. Impossible de les louper. Sans compter tous ceux de la mouvance identitaire néonazis assis çà et là, entre familles et personnes âgées. […] Maxime, un responsable de Lorraine nationaliste, les soutient [les militants de la liste anti-Philippot]. On l’interroge. Lui est «contre la démocratie», il appelle à une «deuxième révolution nationale», cite Pétain, parle de «notre race qui va disparaître». Il se vante d’avoir pris six mois avec sursis pour avoir déployé une banderole «Allez brûler en enfer» lors de la Gay Pride 2014 de Nancy. Pierre-Nicolas Nups était à ses côtés, lui a pris huit mois avec sursis.

L’article complet (Libération) : ici

Aucune discussion polémique n’a coupé l’appétit des milliers d’amateurs de jambon, saucisse ou porcinet en pâte d’amande. Pas plus que la présence des militants de groupuscules d’extrême droite, tel Lorraine Nationaliste, affichant croix celtiques et tatouages sans ambiguïté.

L’article complet (Le Républicain Lorrain) : ici

Nous n’avons pas vu l’ombre d’un punk à chien, ils avaient pourtant promis de venir nous rendre visite… Prenez une piqure de courage pour l’année prochaine ! 🙂

Hayange3(Photo Mathieu Cugnot, Libération)


Jean-Marie Le Pen « plus dans la ligne du FN » selon sa présidente (et fille)

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« Le Pen n’est plus dans la ligne du FN. La ligne du parti c’est moi. Mais il continue tout de même. Est-ce de la jalousie? De la provocation? J’ai renoncé à comprendre »

a déclaré, selon Le Point, la présidente du Front national Marine Le Pen contre son propre père, président d’honneur (?) du parti d’extrême droite, qui lui a pourtant cédé le parti. Elle visait ses fréquents « dérapages » – qui ne seraient, de l’aveu de Jean-Marie Le Pen, que de simples sorties à vocation électoraliste.

« Contrairement à Marine, je pense que le FN progresse grâce aux polémiques. S’il n’y avait plus de polémiques liées au FN, ça voudrait dire que notre parti est dans l’establishment »

a précisé Jean-Marie Le Pen.

Marine Le Pen a démenti par la suite avoir tenu ces propos.

Source


FN : le responsable homofou de Nancy suspendu

Pierre Ducarne, qui passe ses soirées à charrier notre section sur twitter en nous insultant de « dégénérés » (le comble), vient de se faire suspendre du Front National !

L’article :

Selon Pascal Gannat, lecteur des Nouvelles de France et militant historique du Front national, Marine Le Pen a suspendu mercredi Pierre Ducarne de ses fonctions au sein du parti. Le militant LGBT est convoqué en commission de discipline, et de plus avec un second motif : des propos agressifs tenus contre Bruno Gollnisch.

Du coup, sur Twitter, Pierre Ducarne tente de donner des gages tout en se réjouissant du fait que la loi Taubira, affirme-t-il, ne pourra pas être abrogée :

Capture
http://www.ndf.fr/nos-breves/15-10-2014/fn-le-responsable-homofou-de-nancy-suspendu#.VD_iqRZFtHZ


Nancy : le candidat FN aux municipales fait partie du lobby gay !

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Lu dans Minute de mercredi :

Le samedi 27 septembre, Pierre Ducarne, qui conduisait la liste FN aux municipales à Nancy, s’est fait plaisir. Il est allé tenir tout l’après-midi, lors de la fête des associations, le stand d’un collectif LGBT qui regroupe onze associations représentant « la communauté homosexuelle, bi et transsexuelle » de la ville lorraine dans laquelle elle va prochainement ouvrir une Maison LGBT ! Il s’y est même fait prendre en photo, enlacé avec un beau gosse, et a posté le cliché sur Twitter en pied-de-nez « aux sectaires ». Colère de Bruno Gollnisch, qui a demandé : « Un membre-candidat du FN peut-il légitimement participer à ce type d’initiative ? Poser la question… » Poser la question, c’est seulement poser la question. Car personne ne lui a apporté la réponse qu’il attendait…


Dimanche des cadres du Fn défilent, d’autres tiennent un stand homosexuel

Ducarne, Philipot  – Qui a dit : « qui se ressemble s’assemble ? »

FN.Ducarne1Pierre Ducarne qui a porté l’étiquette du FN à Nancy  pendant les élections  affiche son soutien à une association homosexuelle.

Pierre Ducarne  a tenu ce week-end le stand d’un collectif de 11 associations LGBT lors de la «journée des associations» qui se tenait à Nancy.  Le stand du «Kreuji», était tenu par les créateurs de ce projet intégralement piloté et subventionné par la ville de Nancy et son nouveau maire, Laurent Hénart.

Le Kreuji est un collectif de 11 associations qui représentent la communauté homosexuelle, bi et transsexuelle à Nancy. Avec le soutien de la ville, elle va prochainement ouvrir une «maison LGBT» au centre-ville.  Les relations entre le frontiste local – qui fustigeait pourtant au cours de sa campagne « le subventionnement des associations communautaires» – et les associations à la botte du maire sortent enfin de l’ambiguïté.

Source


Le 14 septembre, des radicaux se sont invités à la fête du cochon à Hayange

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Et oui ! A en lire la presse locale, les militants nationalistes présents ce jour là ont attiré tous les regards, dimanche dernier à Hayange, où la fête du cochon s’est déroulée « place de la résistance et de la déportation », ainsi curieusement nommée.

Présent pour défendre notre culture et nos traditions qui nous sont chères, Lorraine Nationaliste a réuni une vingtaine de militants pour ce jour bien particulier.

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Notre section, plus que jamais soudée, s’est ensuite rassemblée autour d’un repas où la camaraderie était de mise.

La presse, aux mains de qui ont sait, n’a quant-à elle comme à son habitude pas pu s’empêcher de nous salir. Voici un petit extrait de « L’express », auquel un membre de Lorraine Nationaliste a accordé un entretien :

Crânes rasés et tee-shirt OEuvre française
(l’article complet est disponible en cliquant sur l’image)

CaptureAttirant les regards des familles, une vingtaine de skinheads – identifiables à leurs crânes rasés, leurs bombers de marque Lonsdale, leurs treillis militaires dans des rangers noires et leurs bretelles – avalent avec appétit charcuteries et bières. L’un d’eux, Maxime, arbore un tee-shirt de l’Oeuvre française, un groupe radical interdit depuis juillet 2013 par le ministère de l’Intérieur. Aux côtés d’un camarade qui, lui, porte un polo noir à la gloire de la division SS Charlemagne, Maxime s’identifie comme appartenant à Lorraine nationaliste, un groupe national-révolutionnaire. Il se définit comme « pétainiste ». « On est venu, non pas soutenir le FN, dirigé à 90% par des juifs, mais parce que la fête du cochon, ça nous tient à coeur« , explique-t-il à L’Express. On est venu ici aussi pour recruter auprès des sympathisants du FN mais pas pour créer des problèmes. »

Visiblement embarrassé, Fabien Engelmann s’abstient de dénoncer leur activisme. « C’est une fête, tout le monde peut venir. Je ne vais pas faire évacuer des citoyens même si je me distingue complètement de ces personnes », fait valoir l’édile qui minimise la présence de « trois gugusses avec des tee-shirts ». « Ce n’est pas ma vocation d’être dans la délation », estime à ses côtés Thierry Gourlot, le secrétaire départemental du FN. « Qu’il y ait quelques crétins venus polluer la fête, on n’y peut rien », minimise Christine Tassin. 

Ci-dessous, l’article du républicain lorrain :

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Et celui du journal libération :

LN NATIO2

Que les choses soient claires, Lorraine Nationaliste n’est pas, et ne sera jamais, un mouvement skinhead. Halte à la désinformation ! Dans cette vidéo, les journalistes nous diffamant et le maire frontiste d’Hayange nous insultant d’imbéciles…

Nous avons par la suite organisé un collage dans la ville :

Qui vive ? France !


Neuf mois de prison ferme pour la candidate FN ayant comparé Taubira à un singe

anne-sophie-leclere-33-ans-candidate-fn-aux-elections-municipales-de-2014_4266688Anne-Sophie Leclère, ex-tête de liste du FN aux municipales à Rethel, a été condamnée mardi à 9 mois de prison ferme pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe. 

Saisi d’une plainte par le mouvement guyanais Walwari, le tribunal a prononcé une peine plus lourde que les réquisitions du parquet, assortie par une amende de 50 000 euros. En plus de cette peine individuelle, le tribunal a également condamné le parti de la candidate, le FN, en prononçant une amende de 30 000 euros.

Sur Twitter, le président d’honneur du FN, Jean-Marie Le Pen, a ainsi apporté son soutien à l’ex-tête de liste FN aux municipales, qui avait insulté Christiane Taubira sur sa page Facebook et dans un reportage de France 2 : « La candidate FN qui compara Taubira à un singe, condamnée à 9 mois de prison ferme. Magistrats traîtres à la loi et violeurs de la morale ».

L’intéressée elle-même a annoncé, mercredi 16 juillet, son intention de faire appel de sa condamnation : « C’est totalement disproportionné, j’ai été très choquée d’apprendre ce jugement. Les criminels sont condamnés et ont un bracelet et moi on me donne de la prison ferme ».

Source


Vers la création d’un nouveau front républicain ? par François-Xavier Rochette.

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Rivarol, n° 3133 du 20 mars 2014 :

Ce sentiment est si désagréable ! Observer limpidement la trahison, la saleté, la médiocrité, la collusion systémique, avoir mille preuves du fait qui paraît si évident, l’appréhender en son cœur, ressentir de plein fouet sa malfaisance et constater, encore, que tant de béjaunes, de jocrisses et de cocus s’alimentent à son pis. Las, le niais enfle de ses certitudes, fanfaronne, fait son petit coq. Et tous les errements, toutes les vilénies, la pantomime, toute cette prostitution idéologique, cette corruption, ces connivences et cette collusion, ces mensonges de huit lustres, l’ensemble des indices éclairant violemment l’ensemble fuligineux de la comédie frontiste, toute cette crasse ignorée d’un peuple tout naïf qui s’accommode des béquilles mentales d’un Front national qui joue son rôle de modérateur et de dérivation politique à fond… La crémation d’un Front national était-elle inscrite dans ses gènes pour qu’elle s’accomplisse de la sorte ? Tout flambe, tous les symboles, tous les principes, toutes les valeurs, tout est incendié aux yeux de tous et surtout de ceux d’une population déculturée, graissée à l’aliment télévisuel, dirigée là où le veut la caste qui régit la démocratie comme l’on dirige par percussion la dernière boule de billard vers un trou. Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait la même limonade ! L’électoralisme intégral du mouvement lepéniste constituait déjà originellement un vice se développant sur le dos de la doctrine qui fut d’abord tronquée avant d’être piétinée. Car l’électoralisme n’a pas seulement pour effet d’enlaidir ses candidats et de les lessiver au fur et à mesure de leurs expériences « démocratiques », il a également pour conséquence de liquider progressivement l’essence du combat initial. Hier défenseur d’une France française libérée de son joug nomade, d’une France virile, d’une France puissante, le mouvement devenu néo-lepéniste s’est transformé en un cirque de Barnum inapte à diffuser ne serait-ce qu’un élémentaire sentiment patriotique au travers des masses décérébrées. L’on nous dit souvent pour défendre le joker du Système que les campagnes électorales permettraient, au moins, de diffuser largement les positions nationalistes par l’entremise des journaux et des télés. Force est de constater que cet argument ne tient plus, la barque des Le Pen ayant pris l’eau de toute part, les derniers patriotes noyés… Restant exposés, sous les projecteurs des media rigolards, des candidats interlopes, nomades, allogènes ou équivoques. Mais le carnaval s’amplifie, la dédiabolisation, vendue comme une stratégie, devient ringardisation, extension continue de la cage aux folles, civisme exubérant de collégiens, « vertu » d’immigrés « intégrés ». Ces dernières semaines, l’électoralisme à la Marion Le Pen (Marine pour faire davantage show biz) exposa des candidats hauts en couleur, super swag (pour parler djeun), branchés, vraiment branchés. Nous n’allons pas vous faire un dessin, les intéressés se précipiteraient sur leur portable design pour contacter d’urgence SOS Intolérance. Nous avons déjà la Licra sur le dos à RIVAROL ; ce n’est vraiment pas le moment de titiller les susceptibilités des unes et des autres.

Le pandémonium électoral

Mais il existe des cas qui en disent long sur l’inanité du projet néo-frontiste qui confond la propagande la plus élémentaire avec les strass et les paillettes. A quoi rime-t-elle, cette mise en avant délirante d’un candidat bleu marine (comme ils disent) en pantalon étroit, en compagnie pour tractage du gourmand Florian Philippot (duo immortalisé par une photo stupéfiante circulant sur le Net), le jeune Bruno Clavet, 24 ans, dilettante en communication et participant occasionnel de jeu télévisé bizarroïde. Cet individu bien soigné, trop soigné, incarnant dans ses hyperboles la nouvelle tendance de la PME de Nanterre dégage une impression guignolesque de pusillanimité qui ne devrait laisser personne insensible. Alors que l’égérie esthétique du parti faisait sa promotion à la fin du mois de février un dimanche sur le marché dans le 3ème arrondissement de Paris, une troupe d’élus de gauche en place, dont le maire du secteur, fit irruption pour taquiner l’ami de Philippot et de Paul-Marie Coûteaux. Bruno Clavet n’a évidemment pas apprécier l’incursion de cette petite horde mais les agressions évoquées par le dandy frontiste sont éloquentes quant à sa perception du combat politique. Le jeune Bruno prétend s’être fâché tout rouge après avoir subi les incivilités de ses adversaires devant l’urne. Et l’ancien participant de l’émission X Factor d’évoquer des coups de tract qui l’aurait rendu furieux : « J’ai dit alors au maire du 3e que c’était la gauche qui avait accordé les pleins pouvoirs à Pétain. Il a vu rouge » ! Le nom de Pétain devenu un vulgaire nom d’oiseau chez les nouveaux frontistes ? Certainement et ça ne devrait rassurer personne quant à la prétendue exposition des idées nationales par le truchement de l’exhibition électoraliste commise par des individus de cet acabit. Ancien militant UMP, Bruno est encore plus traumatisé par l’indicible injure dont il fut la victime lors de ces hostilités de petits gourdiflots en mal de reconnaissance. Impensable assassinat verbal ! Oralité destructrice ! C’était vraiment mal connaître le petit Clavet que de pouvoir ne serait-ce qu’esquisser l’ombre du qualificatif qui l’épouvante encore : « Depuis quelques minutes, ils nous poussaient et nous traitaient de fascistes devant tout le monde », se plaint le gracile militant en incorporant dans son récit effrayant ses deux colistiers tracteurs dont nous ignorons le pedigree tout en imaginant sans peine la veine de leur personnalité. Mais laissons de côté le joujou des Philippot, Coûteaux, Briois, Bilde, Bay et autres flamboyants cadres de la galaxie de la femme aux grands pieds. Il y a plus grave encore que cet épisode fantasmagorique de crachats et de griffures. D’abord cette volonté permanente d’attirer un genre de militants des plus spécifiques ; des militants qui n’auront pas pour passion la chose publique, les grandes questions politiques au nom d’un patriotisme ardent et circonstancié, des militants qui n’auront pas, chevillé au cœur, cet amour invincible de la patrie comme peut l’avoir par exemple un Yvan Benedetti ou un Alexandre Gabriac. Non, bien au contraire, la sélection s’établit à partir de critères autrement plus vulgaires.

Un discours captieux, la République au tournant

Notamment un égotisme démesuré, une préciosité complètement incongrue, une ambition d’ordre matérielle et vaniteuse des plus exceptionnelles (comme nous l’avions entendu de la bouche d’un cadre fn il y a quelques années, il est vrai, alors que nous étions encore étudiant), mais aussi des profils intellectuels, quand il en reste, dépourvus étrangement de mordant, de cet aspect France poignarde qui constitue la fibre génétique de tout nationaliste français. Pis, comme nous le savons, c’est la doctrine qui est attaquée à ses racines mêmes, et le renouveau pédagogique institué par la maisonnée Le Pen ne peut être l’occasion d’une surprise tant le nouveau geste didactique administré ici s’écarte de la pensée nationaliste opératoire. La dernière structure sortie de terre tout récemment porte un nom qui fait frissonner tout dissident authentique. « Le Front national s’est doté, samedi 8 mars, d’un « think tank » étudiant. Baptisée Collectif Marianne, cette nouvelle structure associative, associée au Rassemblement Bleu Marine, est le pendant du Collectif Racine lancé en octobre 2013 pour les enseignants. Ce collectif entend défendre la « méritocratie » et dénonce « la massification de l’enseignement supérieur » productrice de « dépréciation de la valeur des diplômes ». « Les détenteurs d’une licence, d’un master ou même d’un doctorat peinent toujours davantage pour trouver un travail. Cette situation ne sera à terme plus tenable », peut-on lire dans le texte fondateur. ». La Gueuse au service de la méritocratie ? Nous savons très bien vers quoi cela débouche réellement, et nous savons aussi bien que la structure baptisée du nom de Marianne constitue un club d’attrape-nigauds plus à gauche que ne l’était en son temps, sous l’ère pré-chiraquienne, la célèbre UNI. Hé ! Comment les étudiants pris on ne se sait par quel biais dans les rets de cette organisation aux statuts incertains pourraient-ils être capables de bûcher sérieusement sur la dépréciation des diplômes quand ils ne voient pas où ils sont véritablement tombés, quand ils n’ont même pas les capacités de constater la dépréciation infernale de la doctrine nationaliste volontairement engagée en son sein, quitte à combattre frontalement les authentiques nationalistes ? Les étudiants s’investiront-ils en masse dans cette supercherie qui sert la république, rien que leur république ? La familia n’en a cure puisque le bidule servira en premier lieu à détecter les futurs cadres du parti postpatriotique, c’est-à-dire, on le répètera inlassablement, les nouveaux Philippot, Briois, Bilde, et Bay qui sauront cependant profiter à bon escient, avant leur départ vers d’autres horizons plus ensoleillés, des talents des apprentis et des novices. En attendant, les petits gars de la Narine dirigés par un certain David Masson-Weyl (dont notre petit doigt nous dit qu’il ne doit pas être un grand lecteur d’Edouard Drumont) se font les dents (et tout le reste) en planchant sur des sujets inessentiels et surtout propices à développer chez ceux leur fibre épaisse de démocrate en herbe. Premier thème étudié par nos petits républicains, le faible engagement démocratique des étudiants de France (allogènes compris) qui ne voteraient pas suffisamment lors des élections syndicales universitaires, pas assez massivement selon ce Masson-Weyl… Bref, c’est la pantomime démocratique qui intéresse Masson-Weyl, c’est cette interminable comédie qui intéresse Masson-Weyl, non l’évolution de la mouvance nationaliste chez les jeunes gens d’aujourd’hui, non le contenu qui est par ailleurs véhiculé par tel ou tel syndicat. « L’objectif de ce collectif : s’implanter dans les grandes écoles et les universités pour éveiller « les consciences face à la dépolitisation ». David Masson-Weyl a ainsi donné quelques exemples de l’engagement des étudiants vis-à-vis du syndicalisme universitaire : « Université de Bourgogne : 26 711 inscrits, 4 410 votants ; Nanterre (Paris X) : 32 457 inscrits, 3 257 votants et enfin Lyon II : 28 828 inscrits, 2 363 votants. Les faits sont là ! Ils sont peu reluisants », s’exclame pour Le Monde le bon David, qui cumule dans son entrevue informelle avec les journaleux vespéraux les pires insanités. A propos de la présence toujours plus lourde d’étudiants étrangers, David Masson-Weyl se montre prudent et préconise une limitation des flux (mais comment pourrait-il être crédible lui qui a passé plus de 6 mois de sa scolarité à l’étranger) sur la base d’une sélection encore étonnamment angélique s’appuyant sur un universalisme à la gomme : « Il faut que l’on accueille les meilleurs ou ceux qui en tireraient le plus grand bénéfice ». Pourquoi la France s’intéresserait-elle au plus grand bénéfice d’un allogène ? Cette seule question, nous le voyons, disqualifie d’emblée cette mascarade typiquement post-nationale.

Le patriotisme devenu chasse gardée des allogènes qui se veulent « intégrés » ?

Les marécages néo-frontistes ne s’arrêtent pas à ces contrées de l’esprit puant la mort. Ils sont infinis, ils n’ont plus de frontières, ils sont le reflet profond de la société libérale sous perfusion juive. Un jour, Le Point sort un papier sur les nouveaux militants frontistes, un autre c’est Le Nouvel Obs ou L’Express qui s’y colle. La semaine dernière, les newsmagazines ont évoqué le militantisme de deux jeunes adolescents à la peau foncée. Un Maghrébin de 14 ans et un Antillais de 15 ans qui soutiennent de toutes leurs forces l’entreprise de séduction marinesque. Des militants du Troisième Millénaire qui jurent devant le pupitre sacré de l’école républicaine que Marine Le Pen et sa clique ne sont absolument pas racistes. Ces gamins, se présentant devant les gratte-papiers ravis, affirmant, conquérants, que leur idole n’est autre que Florian Philippot. « On ne peut pas comparer le FN d’aujourd’hui avec celui d’il y a quarante ans. […] Nous sommes allés à la galette des Rois organisée par Marine Le Pen. À aucun moment, nous n’avons été rejetés par les militants pour notre couleur de peau. Les accusations de xénophobie, c’est pour faire le buzz », soutient Julien. Le fils d’immigrés algériens et le lycéen d’origine antillaise n’en démordent pas : ils incarnent la « nouvelle génération du FN » ». Oh ! La belle image d’une dédiabolisation réussie qui nous présente la diversité comme sérieuse et engagée politiquement quand le petit Kevin, au même âge, fume le shit de Mokhtar ! Oh les bons petits patriotes scrupuleux, inflexibles, ces promesses des élections de demain ! Comment ne pas voir en eux l’assurance future d’une campagne électorale réussie, demain ? Car pour l’heure, la moindre pression téléphonique fait fuir Maurice, le colistier de la dernière chance, vers son bistro préféré et dévoile à la France entière toute la vanité d’un militantisme de tocards et de traîtres.

                                                  François-Xavier Rochette.

 


Shoah, sionisme, pleurnicheries, mensonges et appel à la répression : la grand-messe sans surprise de la France juive

Image« Le dîner du CRIF, finalement, c’est une réunion de mecs qui toute l’année expliquent que les Juifs ne dominent pas le monde contrairement à ce que pensent les antisémites, et qui salopent tout en un soir en faisant se déplacer toute la classe politique ».

Ce terrible constat d’un site juif, Jew Pop, a été vérifiée à l’occasion de cette nouvelle édition du dîner du CRIJF. Tout ce que la France compte de laquais d’Israël avait répondu à la convocation des autorités d’occupation hier pour ce tristement célèbre rassemblement. Ministres, députés, sénateurs, chefs de loges, cardinaux, imams, ambassadeurs, directeurs de journaux, personne ne manquait à l’appel.

Le président du prétendu Conseil représentatif des institutions juives, Roger Cukierman, s’est livré à son activité favorite : alterner les pleurnicheries et les appels à la répression la plus brutale.
Au chapitre des lamentations, il a évoqué la situation des juifs persécutés : à « Paris, dans le métro, porter une kippa, c’est prendre le risque d’être agressé » a-t-il affirmé. Car, bien sûr, seuls les Juifs sont agressés dans le métro par les hordes que lui et les siens ont tellement contribué à importer et à bouffir d’une haine bestiale. Mais si les Juifs subissent chaque année quelques dizaines d’agressions (423 au total en 2013, y compris des crachats ou des insultes), les Français, les Blancs, en subissent eux, sur leur terre, des millions.

Roger Cuckierman n’a pas oublié d’attaquer le Front national (FN), dénonçant « sa cohorte d’antisémites, de vichystes et de [révisionnistes] réfugiés derrière sa dirigeante, attentive à ne pas commettre d’impair ». Des propos qui soulignent l’échec de la dédiabolisation : on ne gagne jamais rien à refuser de combattre l’ennemi, à se conformer à ses ordres. Il a tout autant dénoncé l’extrême-gauche, insuffisamment soumise, affirmant, comme chaque année, que « l’antisionisme, nouvel habit de l’antisémitisme. Car s’il n’y est pas convenable [sic]d’être antisémite, il est élégant de fustiger l’État d’Israël ».

Au titre des provocations, Roger Cukierman s’est fait l’écho de la revendication des plus extrémistes des Juifs, en suggérant « que la France se démarque du reste du monde et reconnaisse Jérusalem comme la capitale d’Israël ».

Comme ses maîtres, François Hollande a osé prétendre que la baisse des chiffres des actes antisémites – les mêmes qui chaque année sont censés démontrer la réalité de l’antisémitisme – ne reflétaient pas la réalité. A l’inverse du chômage où la hausse devient sous les mensonges du gouvernement une baisse, la baisse des actes antisémites correspondrait en fait à une hausse.
Le président des autorités d’occupation s’est longuement attardé sur des mesures de censure et de répression qui vont être mises en place pour traquer les dissidents à la demande du CRIJF.

« J’ai demandé au gouvernement de me faire rapidement des propositions pour améliorer notre réactivité et éventuellement notre appareil répressif par rapport au développement de la cybercriminalité »

Ces mesures seront combinées avec de nouvelles formes d’endoctrinement et de propagande, à l’école, dans les médiats, les cérémonies officielles, etc., pour imposer la religion de la “Shoah”.

François Hollande s’est fait particulièrement applaudir pour avoir ordonné l’entrée au Panthéon de l’immonde Juif Jean Zay, l’auteur des propos les plus haineux jamais tenus contre la France, non sans avoir fait connaître tout son soutien à l’État criminel d’Israël.

Enfin, François Hollande a totalement comblé ses employeurs, en affirmant que jamais l’Iran ne posséderait l’arme nucléaire, omettant de préciser que l’Etat criminel d’Israël possède illégalement et secrètement un arsenal de plusieurs centaines de têtes nucléaires. En tant que chef de la République juive de France, il est pourtant bien placé pour connaître cette réalité, puisqu’il est le successeur de ceux qui ont volé l’argent, le savoir et l’honneur des Français en ce domaine, pour l’offrir aux talmudistes fanatiques qui menacent aujourd’hui comme depuis tant d’années, la paix dans le monde.

Source: http://jeune-nation.com/2014/03/shoah-sionisme-pleurnicheries-mensonges-et-appel-a-la-repression-la-grand-messe-sans-surprise-de-la-france-juive/


Liste Benedetti-Gabriac à Vénissieux : « Faut pas voter pour eux » annonce Marine Le Pen

Vu sur www.mlyon.fr

Venue à Lyon ce samedi pour donner un meeting de soutien à Christophe Boudot, le candidat FN aux municipales, Marine Le Pen a réagi à la liste Vénissieux fait front et sa validation par la préfecture.
« La décision du préfet du Rhône ne me satisfait pas parce qu’elle ne me donne pas raison, précisa la présidente du Front National. Je n’aime pas les gens qui cherchent à tromper les autres ».
Marine Le Pen dénonça un « procédé profondément malhonnête » de la part d’Yvan Benedetti et d’Alexandre Gabriac à qui elle reproche d’utiliser un nom de liste proche de celui de son parti alors que les deux nationalistes sont exclus du FN.
« Au moins les échos dans la presse permettront de faire savoir qu’ils ne sont pas du Front. Faut pas voter pour eux à Vénissieux ! Ni pour les autres », conclut Marine Le Pen.

Fustigé unanimement quelques minutes plus tôt, Alexandre Gabriac fit son apparition devant l’Espace Tête d’Or où se tenait le meeting. Accompagné de deux anciens membres des Jeunesses Nationalistes, il se contenta de saluer un portier et de récupérer un paquet de feuilles de la part d’un membre du FN avant de repartir, sans esclandre.


Marine Le Pen antifa

La présidente du Front national Marine Le Pen a demandé aujourd’hui au préfet du Rhône de ne pas valider la liste « Vénissieux fait Front », déposée par deux anciens membres du FN qu’elle qualifie de « parasites ».

Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti, dirigeants des Jeunesses Nationalistes et de l’OEuvre Française, ont annoncé (ici) lundi leur candidature sur cette liste aux élections municipales à Vénissieux, dans la banlieue lyonnaise.

En 2011, proches de Bruno Gollnisch, tous deux avaient été exclus du FN après l’accession à sa présidence de Marine Le Pen.

« Il est clair que la dénomination de cette liste constitue un acte de parasitisme du nom Front national, parasitisme autant juridique que politique », écrit celle-ci dans un courrier adressé aujourd’hui au préfet du Rhône, Jean-François Carenco, diffusé à la presse.  »Il est tout aussi clair que le Front national n’a rien de commun avec les parasites qui animent cette liste », ajoute la présidente du FN. Marine Le Pen demande au préfet« pour cette raison de refuser le matériel électoral de cette liste ».

Source