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Conférence – 30 mai 2015, Nancy : « Quand la Corse se lève contre le blasphème » par François Veyret-Passini

Lorraine Nationaliste organise à Nancy le samedi 30 mai 2015 à 20h une conférence sur le thème : « Quand la Corse se lève contre le blasphème », animée par François Veyret-Passini.

Homme de foi et militant nationaliste exceptionnel, François Veyret-Passini reviendra lors de cette conférence sur les évènements tragiques qui ont eu lieu en Corse entre juin et septembre 2014.

Le musée Fesch d’Ajaccio avait accueilli en son sein une photographie blasphématoire d’Andres Serrano représentant Jésus-Christ dans un bain d’urine et de sang. Le déchet « Piss Christ » a sans tarder suscité de vives réactions chez les Corses, très attachés à leur culture et leurs traditions, qui ont organisé de nombreuses manifestations afin qu’il soit immédiatement retiré.

Grâce aux militants mobilisés, le musée a fermé ses portes durant plusieurs jours, belle victoire ! François Veyret-Passini avait observé remarquablement 38 jours de grève de la faim jusqu’au retrait de l’immonde photographie.

Possibilité d’acheter le livre de François Veyret-Passini et de se le faire dédicacer à l’issue de la conférence.

Entrée : 5€ par personne
Contact et inscription : 06.47.96.52.03 / lorrainenatio@gmail.com

– Co-voiturages possibles depuis plusieurs départements –

PISS CHRIST FORA ! PissChristForaLorraine


Piss Christ Fora : Jeune nation à la rencontre de François Veyret-Passini, en grève de la faim depuis 12 jours

Il y a maintenant 12 jours que François Veyret-Passini a commencé sa grève de la faim pour obtenir le départ de Corse d’une œuvre d’art dégénéré, le tristement célèbre “Piss Christ”. Comme lors de ce premier jour, une manifestation se déroule ce samedi à Ajaccio. À cette occasion, l’un de nos journalistes a rencontré François Veyret-Passini pour préciser les buts de sa démarche et quel état d’esprit l’anime.

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Jeune nation : Vous avez commencé une grève de la faim, suite à la manifestation contre le “Piss Christ” présent au musée Fesch. Quelles sont vos motivations ?

François Veyret-Passini : Il y a trois motivations principales : premièrement, cela se veut une expiation par rapport au blasphème que constitue ce prétendu tableau.

Deuxièmement, c’est une alerte, ou plutôt un moyen d’alerter la population, les Corses ; moyen public, médiatique d’alerter sur ce qui se passe : une insulte grave à Jésus-Christ et aux Corses.

Troisièmement, c’est un moyen de pression pacifique pour mettre la municipalité devant ses responsabilités afin que cessent le blasphème et la violence faites aux Corses.

JN : Vous parlez de blasphème. Qu’est-ce qui vous pousse à affirmer que “Piss Christ” est blasphématoire ?

FVP : Le blasphème est une insulte à Dieu, à quelque chose de sacré ; on ne se moque pas de Dieu.

Ici, on mélange l’image de Jésus-Christ, fils de Dieu incarné, avec des déjections. Il y a donc bel et bien une injure grave puisqu’on associe le moment ultime de la Rédemption avec ce qu’il y a de plus bas. On a ici une volonté de salir, on se moque de Jésus-Christ. Notre indignation est légitime, car cela touche ce qui nous est le plus cher au monde. C’est comme si on montrait à des patriotes quelqu’un qui se torche avec le drapeau français, et qu’on leur dit que c’est de l’art donc incontestable. Imaginez les réactions…

Ici, c’est bien plus grave : c’est l’honneur de Dieu qui est en jeu.

JN : Vous avez justement évoqué l’art. Or, par définition, l’art est libre…

FVP : La liberté de l’art ne lui garantit pas l’impunité. Oui, l’art peut être blasphématoire, l’artiste met son talent au service du blasphème, il attaque. La liberté de l’artiste n’est pas une licence débridée, elle est elle aussi soumise à des lois. Et surtout, elle ne l’autorise pas à insulter, à blasphémer ; en tous cas, pas sans réaction. Car en attaquant Dieu de la sorte, son “œuvre” devient une œuvre de combat !

piss_christ_fora_greve_de_la_faim-François Veyret-Passini devant la banderole Piss Christ Fora.

JN : En rentrant dans ce « combat », ne craignez-vous pas justement de faire davantage de publicité à l’artiste et de faire monter sa cote, en le posant en victime, lui et son tableau ?

FVP : Mais c’est bien ce qui se passe : on fait de la pub, on fait monter la cote de l’artiste ; et c’est ce qu’il recherche. Mais ce n’est pas parce que le monde est pourri qu’on doit se laisser insulter. De cette grève de la faim, je veux obtenir aussi un coup d’arrêt à la décadence généralisée.

JN : Donc, vous faites la volonté de l’artiste ?

FVP : Oui, cela le sert. Financièrement surtout. Mais c’est une manœuvre de subversion – ne croyez pas qu’il est tout seul à pondre de telles cochonneries : il est soutenu, encouragé. Et si on ne réagit pas maintenant à la subversion, cela va prendre de plus en plus d’ampleur : on donne le champ libre à la subversion et puis à la pourriture ambiante.

Il faut donc que ce soit la réaction la plus large, la plus sérieuse, la plus efficace possible. C’est pourquoi la manifestation seule ne suffit pas : cela a été pareil en Avignon, nous, nous agissons dans un esprit plus pacifique mais c’est le même fond et la même volonté .

JN : Concrètement, quelle sera l’efficacité ?

FVP : Ce gars, Serrano, eh bien il va changer de ville avec son œuvre. Si partout où il va, une réputation sulfureuse le suit ou le précède (divisions dans la population, troubles), les maires pourraient hésiter et même refuser de le recevoir. C’est donc un premier résultat : il ne sera pas exposé.

Tandis que même si c’est le bide à chaque fois qu’il expose, mais qu’il n’y a pas de réactions, cela lui fait comme une carte de visite (passé dans telle ville, dans telle ville…). Et au contraire, s’il y a des réactions, les municipalités y réfléchiront à deux fois. On veut aussi lui plomber ses possibilités d’exposition, c’est un but plus large.

JN : L’efficacité peut être totalement inversée : ainsi, quand le “Piss Christ” a été exposé et vandalisé à Melbourne en Australie, son prix est passé de 150 000 euros à 300 000 !

FVP : Non mais de quoi parle-t-on ? Là, on ne parle même plus d’art ; on parle de trafic, de business. Qui donne de telles valeurs à cette photographie ? Qui les détermine ? Les pourrisseurs qui autorisent et financent de pareilles chiures ? Ce n’est pas du tout une référence pour nous ; cela ne doit pas non plus en être une pour les municipalités ! Le maire a donc le choix entre le business et l’honneur.

Pour nous, le choix est tout fait.

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Deux pétitions ont été lancées pour soutenir François Veyret-Passini et exiger le retrait de cette œuvre d’art dégénéré :

http://www.petitions24.net/piss_christ_fora

http://www.defensorchristi.fr/non_au_piss_christ_ajaccio

(Jeune Nation)