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Nos deux militants condamnés : Compte-rendu du procès de Lorraine Nationaliste

Compte-rendu complet du procès de Lorraine Nationaliste du vendredi 30 janvier 2015

procèsIl y a quelques semaines, tout le monde se faisait défenseur de la liberté d’expression. En ce qui nous concerne, nous n’avons pas attendu les récentes tueries qui se sont déroulées dans les zones occupées d’Ile de France, pour dénoncer l’état déplorable d’une liberté qui s’est considérablement réduite depuis les années 90. Cela surprendra peut-être nos lecteurs les plus jeunes, mais jusqu’à cette époque, on trouvait les ouvrages du professeur Faurisson à la FNAC.

Suite à notre action coup de poing du 31 mai 2014, une plainte a été déposée par une association de défense des intérêts sodomites et saphiques. Autrefois, dans les familles touchées par l’homosexualité, on disait « il y a un homosexuel dans notre famille, que vont penser les voisins ? », aujourd’hui c’est « que vont dire les gens si on s’oppose à l’institutionnalisation de ces mœurs ? ». Triste évolution soit dit en passant. Le cancer aussi, évolue, et pas toujours favorablement. Une enquête a été ouverte, et fait suffisamment extraordinaire pour être souligné, la brigade scientifique a été mobilisée afin de faire des prélèvements ADN qui seront exploités – il s’agit d’une première en France, rien que ça ! – et qui mettront en cause deux militants de Lorraine Nationaliste.

En septembre 2014, les prévenus ont été interpellés puis placés en garde à vue avant d’être déférés et placés sous contrôle judiciaire, parce qu’ils auraient, à l’occasion d’une manifestation publique, fait valoir une opinion contestée, mais sans doute encore très majoritaire en France. Vendredi dernier, les deux nationalistes ont été lourdement condamnés par une justice de plus en plus inique (voir le passage de France 3 ici), à tel point qu’elle ne respecte même plus son propre droit. Les militants en question ont été poursuivis pour « MENACE DE MORT MATÉRIALISÉE PAR ÉCRIT, IMAGE OU AUTRE OBJET, COMMISE EN RAISON DE L’ORIENTATION OU IDENTITÉ SEXUELLE ». Une banderole  « Allez brûler en enfer » avait en effet été déployée au cours de la dernière « marche des fiertés » à Nancy. Celle-ci ne faisait que rappeler la juste doctrine de l’Église (et de la plupart des religions) quant à l’avenir de l’âme des sodomites refusant obstinément de s’améliorer ici bas. Les Français non reniés ont été condamnés à 6 et 8 mois de prison avec sursis, à la modique somme de 3000€ de dommages et intérêts pour préjudice moral (la blague), 800€ de frais de justice et un stage de citoyenneté à leurs frais puant le républicanisme à plein nez. C’est donc plus de 4000€ qu’ils doivent débourser.

Il apparaîtra à quiconque doté d’un minimum de raison, que de dire à autrui d’aller brûler en enfer n’est en aucun cas une menace de mort.

Par ailleurs, quand bien même cette idée serait pénalement répréhensible, elle n’a pas été poursuivie sur le bon fondement. L’article 23 de la loi du 29 juillet 1881 dispose que : « Seront punis comme complices d’une action qualifiée de crime ou délit ceux qui, soit par des discours, cris ou menaces proférés dans des lieux ou réunions publics, soit par des écrits, imprimés, dessins, gravures, peintures, emblèmes, images ou tout autre support de l’écrit, de la parole ou de l’image vendus ou distribués, mis en vente ou exposés dans des lieux ou réunions publics, soit par des placards [une banderole est, en l’espèce, un placard] ou des affiches, exposés au regard du public, soit par tout moyen de communication au public par voie électronique, auront directement provoqué l’auteur ou les auteurs à commettre la dite action, si la provocation a été suivie d’effets ».

Dès lors, les faits reprochés aux deux militants nationalistes, relèvent exclusivement des dispositions de la loi du 29 juillet 1881, à l’exclusion de toutes les autres. Nous préciserons que les personnes poursuivies pour de tels faits ne doivent pas être placées sous contrôle judiciaire, or, cela a été fait. Qu’importe, on a refusé de dire le droit.

Homophobie

Autre principe fondamental du droit pénal n’ayant pas été respecté : la loi sur la présomption d’innocence qui prévoit notamment que le doute doit bénéficier à l’accusé. Or, ni pendant les auditions, ni pendant leur comparution devant le tribunal de grande instance de Nancy, les deux militants n’ont admis avoir brandi cette banderole. L’ADN retrouvé sur la banderole ne signifiant nullement qu’ils étaient présents avec certitude au moment des faits, mais qu’ils l’ont simplement touché. Autre fait extrêmement rare méritant d’être rapporté : le quasi-silence du ministère public et de l’avocat de la partie civile devant la brillante plaidoirie de notre avocat Me Pierre-Marie BONNEAU, que toute la salle écoutait avec la plus grande attention. Tous étaient conscients de la nullité de la citation qui aurait dû aboutir à une relaxe totale. Mais le tribunal ne souhaitant pas dire le droit de peur de relaxer les affreux fascistes, il s’est contenté de rendre une énième décision scandaleuse qui, si elle n’est pas annulée en appel – celui-ci a été déposé le jour même -, sera une médaille supplémentaire pour tous les soldats politiques qui luttent avec cette foi inébranlable qui leur est propre. Une preuve supplémentaire que ce système est à l’agonie, nous savons que le chien mord quand il a peur.

Ci-dessous, l’épaisseur du dossier constitué contre nous, pour un bout de plastique ! (Feuilles A4 recto/verso) :

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Pour conclure, le juge chargée de notre affaire en première instance, de qui nous attendons toujours les motivations de sa décision, a cédé aux caprices de la petite communauté rose organisée. A noter qu’une autre plainte pour « menace de mort contre personnes dépositaires de l’autorité publique », déposée par le policier qui était chargé de l’enquête est toujours en cours contre Lorraine Nationaliste.
Nous tenons à remercier les militants ayant fait le déplacement pour nous soutenir le jour du procès et ceux nous apportant leur soutien à distance.
Le système finira par tomber, incapable de résister à l’inexorable auto-pourrissement qui le frappe. L’odeur de mort imminente plane déjà au-dessus de lui. Nous lui donnerons les derniers coups de boutoir. Loin d’être impressionnés, nous continuerons à mettre en place les moyens qui nous sembleront nécessaires au respect de notre liberté d’expression.

RELAXE POUR MAXIME ET PIERRE-NICOLAS ! CONDAMNÉS CAR NATIONALISTES !

Haut les cœurs !

ACP NANCY


Compte-rendu des 48 h de garde à vue des deux militants de Lorraine Nationaliste

Au cœur de la garde à vue

La semaine dernière, une convocation à l’hôtel de police de Nancy est tombée pour deux de nos militants, âgés respectivement de 20 et 22 ans. Les Français non-reniés se sont rendus à celle-ci ce mardi, à 16h30. Ils ont été informés à ce moment de leur placement en garde à vue de 24 h, prolongeable une fois, qui est systématique pour les nationalistes.

Nos deux militants sont soupçonnés d’avoir fait des menaces de mort en raison de l’appartenance sexuelle, et d’avoir participé à l’action coup-de-poing à Nancy, contre une marche anti-famille, en mai dernier. Dans cette enquête, toutes les bassesses ont été utilisées, pressions auprès des familles, perquisitions à leur domicile, menace de prison ferme immédiate (comme si nous ne connaissons pas les répugnantes lois de leur démocratie…). Pendant ce temps, une poignée de journalistes s’est regroupée devant l’hôtel de police, pour obtenir des informations sur l’affaire, ils n’ont d’ailleurs pas traîné pour dégueuler des articles tous plus diffamants les uns que les autres (par exemple ici…).

Quant à eux, les fidèles de Lorraine Nationaliste, ont gardé le silence du début à la fin de leur garde à vue, en refusant de signer quoi que ce soit, tout en animant les cellules de chants nationalistes, ce que nous vous invitons à faire systématiquement dans ce cas. Quand vous avez votre GAV prolongée de 24 h à l’issue de la première journée, qu’on vous photographie des pieds à la tête en prenant vos empreintes digitales, des prélèvements salivaires, et qu’on vous ramène en plus un type, juste en face, qui est là pour exhibition sexuelle devant mineure, que vous constatez qu’il va sortir largement avant vous, vous avez compris qu’il y a un grave problème dans ce pays.

Au terme de leur enfermement dans les geôles de la république, les militants ont été présentés devant le procureur et le juge des libertés et de la détention. Ils leur ont annoncé leur placement sous contrôle judiciaire jusqu’au procès, prévu le 24 octobre 2014, leur interdisant de rentrer en contact entre eux, comme de vulgaires terroristes pouvant à n’importe quel moment comploter dès leur sortie pour poser une bombe dans le tribunal ; avec en prime l’interdiction formelle de s’approcher à moins de 100 mètres du local LGBT de Nancy, qui a déposé deux plaintes, ou de s’approcher de leurs membres. Toute infraction à ces règles pourrait leur entraîner de la prison ferme. Les raisons de cette protection se sont éclairées pour nous lorsque nous avons appris qu’ils nous ont accusés d’avoir lancé des fumigènes du haut du parking aérien du centre Saint-Sébastien, brulant soi-disant plusieurs personnes, ainsi que des casques de motos, sans rire… Quelle calomnie !

ACP NANCY

Peu après leur libération, nous avons appris que des recherches ADN ont été opérées par la police scientifique sur la banderole afin d’identifier les auteurs… Même L’URSS bolchévique n’aurait pas osé utiliser ce moyen pour une simple banderole s’ils en avaient eu la possibilité !

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FAIRE FACE À LEURS COUPS, tel est la vie de tout nationaliste luttant pour le bien-être supérieur de la Nation. Avec la garde à vue du 26 mai 2013 à Paris, lors de la manif pour tous contre le projet de loi autorisant la parodie du mariage pour les couples sodomites et saphiques, où nos militants ont été enfermé pendant 65 h chacun, notre section en est à un total de 231 heures de garde à vue. Nous voyons la répression comme un thermomètre nous indiquant que nous sommes sur la bonne voie.

Qui vive ? FRAANNNCE ! Jamais le combat que l’on mène pour toi ne s’arrêtera !