Mouvement nationaliste pour la France aux Français

Vidéo et discours de notre hommage au Maréchal Pétain à Douaumont

Le discours :

Chers amis nationalistes, Français de toujours,

Nous célébrons aujourd’hui la disparition d’un héros français : le maréchal Philippe Pétain, chef de l’État français.

Philippe Pétain est né le 24 avril 1856 à Cauchy-la-Tour (département du Pas-de-Calais). Militaire de carrière, il assiste à la défaite de l’armée française en 1870 et au retour des turpitudes républicaines. Mis d’office à la retraite en 1914, il est vite rappelé au sein de l’armée.

Homme de dignité, organisateur et responsable, Philippe Pétain est nommé général en 1915 par le maréchal Joffre.

PÉTAIN C’EST VERDUN.

Alors que débute cette terrible bataille le 21 février 1916, Philippe Pétain est nommé général en chef pour conduire notre armée. Cette bataille durera 300 jours et fera 300 000 morts et disparus. Depuis la Voie sacrée, Philippe Pétain remportera alors cette dernière bataille conduite en totalité par l’armée française. Aimé par ses soldats dont il avait le plus grand respect, il leur déclarera au début de ce sanglant affrontement : « Courage, on les aura ».

Il est à noter qu’au cours d’un des multiples assauts, un certain sous-lieutenant nommé De Gaulle Charles, préféra hisser le drapeau blanc et se rendre à l’ennemi. De Gaulle, l’homme de toutes les trahisons, commettait alors son premier forfait.

Philippe Pétain, homme d’honneur et de tous les honneurs deviendra le 19 novembre 1918 maréchal de France. Et c’est à Metz, le 8 décembre 1918, qu’il recevra son bâton de maréchal.

Homme ayant la confiance des Français, Philippe Pétain est fait académicien le 29 juillet 1929. Puis sera nommé ministre de la guerre le 9 février 1934.

Alors que l’Allemagne réarme et que les Américains renforcent leur emprise diplomatique en Europe et au Proche-Orient avec le concours des Anglais, nombre de Français souhaitent que le maréchal Philippe Pétain soit au service de la France ainsi que des Français.

« C’est Pétain qu’il nous faut » disent-ils, alors que la France subit le Front populaire conduit par le sinistre Léon Blum – suppôt du peuple élu.

Le 2 mars 1939, le maréchal Philippe Pétain est nommé ambassadeur d’Espagne. Il y rencontre le Général Franco. Ce dernier vient de vaincre les républicains espagnols ainsi que les brigades internationales armés par les bolcheviks.

LA DIVINE SURPRISE

Rappelé auprès du gouvernement français le 17 mai 1940 alors que la France est de nouveau en guerre contre l’Allemagne, Philippe Pétain est nommé le 16 juin 1940 Président du conseil de la Troisième république. « Divine surprise » dira Charles Maurras.

Face à la débâcle de la France, et restant fidèle au glorieux passé de notre pays, Philippe Pétain signe l’armistice le 22 juin 1940. Par cet acte courageux et responsable, il met fin à une guerre non souhaitée par le peuple français contre le peuple allemand.

Quelques jours avant cet armistice, le Capitaine De Gaulle Charles avait alors déserté la France pour se réfugier auprès de la perfide Albion.

Alors que la douleur atteint l’ensemble des Français qui ont été trahis par leur classe politique décadente et qui a fui le territoire national, le maréchal Philippe Pétain obtient le 10 juillet 1940 les pleins pouvoirs et devient le 11 juillet 1940 le Chef de l’Étatfrançais.

Par cette action « il fit don de sa personne à la France ».

Ceci va lui permettre – malgré l’occupation de la France par une puissance étrangère – d’entreprendre la Révolution nationale. Et cela au seul bénéfice de 40 millions de Français qui veulent rester français par le Travail, la Famille et la Patrie.

Fidèle à la France, à ses valeurs millénaires depuis Clovis, Philippe Pétain s’attache à restaurer la France qui avait sombré dans l’infâme révolution maçonnique et communiste de 1789.

La défaite du national-socialisme allemand face à l’invasion judéo-anglo-américaine de 1944 sur l’ensemble de l’Europe des nations ne permettra pas au maréchal Philippe Pétain, devenu chef de l’État français, de mettre en œuvre de façon durable le redressement économique, social et financier du pays tant attendu par les Français de toujours.

Alors qu’il fut conduit en août 1944 contre son gré dans le sud de l’Allemagne, Philippe Pétain – homme d’honneur pour ne servir que la patrie outragée – retourne en France le 26 avril 1945.

Un procès inique organisé par le déserteur De Gaulle Charles, ayant dans ses valises le communiste Thorez – auxiliaire de Staline –, lui est fait à Paris du 23 juillet au 15 août 1945.

Cette sinistre comédie politicienne, quand on connaît les engagements de Philippe Pétain pour servir la France et non pas se servir de la France, était un avant-goût du grand guignol judiciaire de Nuremberg. Mis en scène au seul bénéfice des mondialistes sionistes, cette odieuse bouffonnerie politicienne permettra alors la mise en place progressive de l’asservissement des nations Européennes à la solde de Wall-Street et de Tel Aviv.

Philippe Pétain, emprisonné au fort du Portalet de l’île d’Yeu sur ordre du traître De Gaulle Charles, s’éteindra avec dignité le 23 juillet 1951.

En ce jour anniversaire de sa mort, nous lui rendons hommage. Et cela à Douaumont, haut lieu de mémoire pour tous ceux qui sont tombés dans la Grande Guerre. Chaque famille française y est représentée sur les monuments aux morts des 36 000 communes de France et sans oublier ceux d’outre-mer qui ont donné aussi leur vie pour la France.

C’est à Douaumont, au milieu de ses hommes morts pour la France et avec lesquels il a gagné la dernière bataille de l’armée française, que Philippe Pétain – maréchal de France et chef de l’ÉTAT FRANÇAIS – doit reposer pour l’éternité.

Gloire au maréchal Pétain,

Gloire à la France,

Gloire aux Français morts pour la France !

portrait_marechal_citation-

Une Réponse

  1. Vrignaud

    Degaulle est la véritable écriture, traitre jusque dans le nom, il garda les gallons remis provisoirement, qu’est devenu la valise de 100 000 f d’époque ?

    11 juillet 2015 à 22 h 38 min

Laisser un commentaire